…Force m’est de constater, chères concitoyennes et concitoyens, amis de la France d’en haut, sœurs et frères de la France d’en bas, que je me suis senti depuis toujours un enfant, puis un jeune homme – un homme jeune et enfin un homme fait, littéralement porté et poussé par vous, femmes et hommes de France dont les mains ont été, en toute simplicité, les ailes de ma Destinée, corroborant enfin le sentiment dont je me flatte que ce n'est pas avec vos pieds que vous avez voté pour Moi…
Image : Philip Seelen