Celui qui relève la récurrence du connecteur et dans l'écriture du scripteur anonyme du tag et en infère une forte marque de sa subjectivité énonciative au niveau de la base textuelle genre langue de banlieue sensible / Celle qui n'ose déléguer son récit de vie à un narrateur second de type intradiégétique et prend alors sur elle de risquer un JE ressortissant à la narration homodiégétique genre yaourt nature / Ceux qui conviennent au cours du colloque sur Ramuz que le rattachement du mot ruclon (en français avéré: décharge, lieu où l'on jette les ordures ménagères ou potagères) à une aire linguistique définie s'étend à l'énonciateur Bovard (le cantonnier) et, comme élément de connotation, devient un facteur d'ancrage énonciatif / Celui qui décrypte le niveau de consensus du sondage en modulation spontanée /Celle qui interagit dans le cadre des mouvances / Ceux qui décontextualisent les critères du relatif / Celui qui ne percute pas le concret du concept / Celle qui antagonise le moins possible même en termes de non-dit /Ceux qui estiment que Gide a sous-évalué la dimension du pacte narratif dans les transitions de Paludes /Celui qui oppose radicalement (Jean-Pa s'est toujours montré très radical dans ses approches intertextuelles) la pléthore du signifié chez Dante et l'économie du blanc dans l'Ecole du silence / Celui qui sécurise le débat en gérant les retombées / Celle qui externalise le produit coeur au plan sociétal / Ceux qui boostent le relationnel de leur réseau ludique,etc.
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Celui qui dans la phase préparatoire de son discours n'exclut pas de s'inspirer de sa propre manière de voir, ainsi fidèle à une perspective traditionnelle / Celle qui considère le colloque comme une caisse de résonance de mots palpables à leur corps défendant, de faims de paroles et de soifs d'expression / Celui qui répète devant son miroir subjugué par la douceur des suffixes qui introduisent de l'inachevé et une certaine luminescence / Celle qui clive ses mots et les utilise comme des flotteurs lors de sa lessive annuelle chez sa psychanalyste / Ceux qui s'ouvrent à l'altérité et se conjuguent à une vaste humanité / Celui qui met des guillemets pour signaler les failles entre excès de signifiants et pléthore de signifié, ouvrant ainsi l'espace rhétorique révélé / Celle qui pratique le décroché énonciatif / Celui qui souffre d'expression polyphonique langagière / Celui qui introduit une épanorthose à la page 159 de tous ses romans / Ceux pour qui les mots sont des piqûres d'incertitude et des griffures d'incomplétude...
Celle qui a tout compris sans cliver l'oxymore vivant...
Ceux qui jargonnent... loooool