La dernière brasse de Corbu
UA-71569690-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La dernière brasse de Corbu
Plus que la saga mathématique d’un architecte, ce livre d’exultation lucide est celui d’un créateur visionnaire tenant son Quichotte dans une poche (relié pleine peau de chien empruntée à son cher Pinceau) et Zarathoustra dans l’autre pour faire bon poids, qui met en balance les ressources et les faiblesses du personnage. « Chez Corbu, écrit Nicolas Verdan en postface, il y a comme une formidable absence de compassion. Un manque absolu d’amour ». Et pourtant le monstre marin irradie, et c’est un poète, c’est un artiste, c’est l’homme nu qu’il cherchait aussi bien.
Le grand fauve à nœud pap
Pour illustrer la face lumineuse du Maître en l’une de ses réalisations, le photographe lausannois Matthieu Gafsou est entré en consonance réellement créatrice avec son objet: le patrimoine de Firminy-Vert, captant les jeux de l’architecte avec la lumière, s’efforçant de « lire la pierre » et de mettre en scène les éléments architecturaux (une cité d’habitation, une Maison de la culture, un complexe sportif et l’église Saint-Jean), et la nature environnante du plus grand site Le Corbusier en Europe, entre Saint-Etienne et Le Puy, à l’échelle du Modulor.