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De si tendres regrets

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Nous aimons voir le ciel, le soir,

aux élans dramatiques,

quand les amants sur les écrans

cinématographiques,

se la jouent James et Nathalie:

elle tout Ophélie

et lui Roméo de ruisseau…

 

Nous aimons rêver à voix haute

au lever des rideaux,

quand nos héros des dieux les hôtes

nous accueillent là-bas,

dans l’au-delà de nos bureaux

au vivant Opéra…

 

Nous avons aimé l’embellie.

ici et là, parfois,

que nous avons imaginée,

et que nous revivons

les yeux sur les écrans

de la mélancolie...

 

(Contrerimes advenues après la énième vision de La Fureur de vivre de Nicholas Ray, découvert en 1961 au cinéma lausannois Le Colisée, interdit aux moins de 16 ans alors que j''en avais 14 l'année de la mort de Louis-Ferdinand Céline et d'Ernest Hemingway)

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