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La déraison communautariste

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Après La philosophie devenue folle de Jean-François Braunstein, La grande déraison de Douglas Murray pose les vraies questions, "dérangeantes" au possible et sans réponses certaines pour la plupart, sur le délire déliquescent des communautaristes multipliant leurs chantages prétendus libérateurs - nouveaux djihadistes moraux à la façon queer & Co de réécrire l'histoire et d'épurer la culture...
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«La politique de l’identité» est-elle en train de combler le vide laissé par l’effondrement des grands récits dans les sociétés postmodernes? C’est la thèse que défend Douglas Murray dans son livre La Grande Déraison (Éditions L’Artilleur). L’obsession des «minorités intersectionnelles» pour la «race», le «genre» et l’«identité» lui paraît potentiellement destructrice pour les sociétés occidentales. «On dresse les gays contre les hétéros, les Noirs contre les Blancs, les femmes contre les hommes», déplore le journaliste et essayiste britannique.
C’est en Occident que la situation des minorités est la plus enviable au monde, rappelle-t-il, et c’est paradoxalement la victoire des grandes causes égalitaires qui, selon lui, provoque une surenchère de revendications aussi contradictoires que dangereuses...
 
(Chronique développée à suivre sous peu)

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