Pour que la douceur dure un peu,
pour que te soit moins dur
le temps venu de nos adieux,
dans un lointain murmure
tu en reviens à ces années
de toutes nos enfances
où nous venaient les premiers mots,
les premières souffrances,
et le rebond tout aussitôt
de nos impatiences...
Tant d’images, de tendres visages.
dans les ondes profondes,
et l’oubli de nos âges.
Tout à nos souvenirs communs.
nous oublions le temps
où jeunes et vieux n’étaient qu’un...
Alors à nos mains tu confies
les deux tiennes enfin...